Christiane Gagnon : bilan économique négatif
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE
Christiane Gagnon
Incapable de défendre le bilan économique de ses douze années de «vrai pouvoir»
Québec, le vendredi 16 décembre 2005 - La députée de la circonscription de Québec, Mme Christiane Gagnon, a été déstabilisée lorsqu'est venu le temps de défendre les réalisations économiques de ses douze années passées à titre de député de l'opposition, au cours d'un débat diffusé sur les ondes de CKIA FM ce matin.
Invitée par le candidat conservateur de la circonscription de Québec, Frédérik Boisvert, à commenter le fait que – contrairement à l'ancien député conservateur de la circonscription de Québec-Est, M. Marcel R. Tremblay, qui avait apporté 320 M $ d'argent neuf dans son comté de 1984 à 1993, en douze ans – elle n'avait jamais procédé à l'annonce d'une subvention fédérale, Mme Gagnon a esquivé la question et s'est contentée d'opposer son expérience à l'âge et à l'idéalisme de M. Boisvert.
Il n'y là rien de surprenant pour une candidate qui, le mardi 26 octobre 1993, « avouait » dans le journal Le Soleil « qu'elle devait sa victoire à son chef » (Lucien Bouchard), souligne le candidat conservateur. Frédérik Boisvert affirme que seul le représentant d'un gouvernement conservateur peut récupérer les 18 M$ promis et perdus lors de l’épisode des «chiffons rouges».
Au cours de ce débat, Mme Gagnon a également indiqué les limites du « vrai pouvoir » bloquiste lorsqu'elle a déclaré « qu'on avait demandé au gouvernement fédéral d'instaurer un crédit d'impôt pour les laissez-passer de transport en commun ainsi que des autos moins polluantes, mais que rien n'avait été fait ». Ce qui constitue pour le moins un curieux argument pour celle qui, le mardi 26 octobre 1993, avançait dans le journal Le Soleil que « le Bloc québécois [allait] maintenant être la force déterminante à la Chambre des communes et représenter le vrai pouvoir pour les citoyens du Québec », affirme M. Boisvert.
Comme le disait hier soir le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, à l'occasion du premier débat : « Le sens de cette élection, c'est de sanctionner les libéraux ». Il s'avère cependant évident que les libéraux ne seront pas sanctionnés si les électeurs, par dépit ou par habitude, votent encore pour le Bloc et permettent au Parti libéral du Canada de former un autre gouvernement minoritaire, s'exclame le candidat conservateur de la circonscription de Québec
Même si Mme Gagnon, est une femme de valeur qui effectue un travail honnête, seul le représentant d'un gouvernement conservateur est en mesure de faire les choses différemment dans la circonscription de Québec. « Il est plus que temps de rompre avec notre isolement régional et d'envoyer à Ottawa une cohorte de nouveaux nationalistes capables de faire bouger les choses et non pas seulement de poser des questions. Il est temps pour les Québécois de disposer du « vrai pouvoir » et de l'utiliser de façon « responsable », affirme M. Boisvert.
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Source : PCC - Circonscription de Québec
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