HARPER VS TRANCHÉES MÉDIATIQUES
Les journalistes de la presse parlementaire sur la Colline se plaignent de subir un encadrement plus strict que sous le règne des libéraux. Définitivement rien de nouveau sous le soleil.
Peter Debarats, un spécialiste des médias de l'École de journalisme de l'Université Western Ontario, a conduit une enquête appronfondie auprès de la galerie de presse tout juste après l'élection de 1984 (où les conservateurs l'avaient emporté avec une majorité historique de 211 sièges). Résultat : 91 % des journalistes avaient voté pour le Parti libéral ou le NPD...
Mieux encore. On raconte à qui veut l'entendre que la situation actuelle avec les journalistes est une première et qu'aucun premier ministre ne s'est conduit de la sorte. La mémoire est une faculté qui semble parfois oublier : Brian Mulroney, à un certain moment au cours de son permier mandat, n'a pas tenu de conférence de presse à Ottawa durant près de 3 ans.
So much for objectivity.
Peter Debarats, un spécialiste des médias de l'École de journalisme de l'Université Western Ontario, a conduit une enquête appronfondie auprès de la galerie de presse tout juste après l'élection de 1984 (où les conservateurs l'avaient emporté avec une majorité historique de 211 sièges). Résultat : 91 % des journalistes avaient voté pour le Parti libéral ou le NPD...
Mieux encore. On raconte à qui veut l'entendre que la situation actuelle avec les journalistes est une première et qu'aucun premier ministre ne s'est conduit de la sorte. La mémoire est une faculté qui semble parfois oublier : Brian Mulroney, à un certain moment au cours de son permier mandat, n'a pas tenu de conférence de presse à Ottawa durant près de 3 ans.
So much for objectivity.
<< Home